Le Manque de représentativité en bande-dessinée

Post initialement publié sur mon compte Instagram mrsrootsbooks, à l’issue d’une conférence au Festival BD USA.

À la suite de cette tournée aux USA, Camélia et moi avons eu le plaisir de voir Amours Croisées figuré dans cet article sur la représentation des personnes noires en bande-dessinée, et de voir notre travail cité comme étant une proposition artistique inédite dans la BD franco-belge. Notre Yari nationale made it !

4 thoughts on “Le Manque de représentativité en bande-dessinée

  1. Bonjour/bonsoir Mrs Roots
    le sujet est interessant .A mon avis l’une des solutions serait que les minorités produisent des artistes qui pourront les representer dans cette complexe industrie culturelle.Je suis suis consomateur de BD depuis ma tendre enfance et aujourd’hui dans l’age adulte , je rescens gravement le manque de representation culturelle dans les medias .Je ne peux pas parler pour les autres mais je peux au moins dire que malgré le boom des artites noirs un peu partout dans les medias , je pense que le pouls et l’expression afro ne sont pas bien exprimés et cette derniere (l’expression) manque de reelle veracité .Au cinema il y a Spike lee , Jordan Pelee et Donald Glover qui presentent assez bien la realité et la perspective noire de facon a ce qu’on puisse s’y reconnaitre (du moins moi) ,s’agissant des series tele il y a Issa Rae mais dans la BD , l’animé et les comics je deplore moi aussi qu’il y ait des personnages noire de peau mais depourvues de la culture noire (sauf peut etre les Boondocks). Je me damande si cela est du à un manque d’interets des minortiés à travailler dans le secteurs de la BD ou alors cela est du à la structure de l’industrie de production culturelle(?).

    1. Bonjour Aldino ! En réalité, ces artistes existent déjà et depuis longtemps, le problème est que leur accès à la publication est empêchée par les discriminations d’une industrie éditoriale qui souffrent de biais racistes, et ce n’est malheureusement pas limité à la BD. Résultat : la plupart passe par l’autoédition pour faire connaître leur travail. Aussi, je pense que votre réponse l’illustre bien : vous avez cité exclusivement des personnalités américaines, qui appartiennent donc àdes industries culturelles en contexte américain où les accès à l’industrie sont plus ouverts et divers qu’en France. C’est donc bien l’industrie de production culturelle qui en est responsable 🙂 Merci pour votre commentaire.

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